La Directive de protection incendie 15-15, ch. 3.1.2.3 permet de réduire la résistance de manière appropriée entre les compartiments coupe-feu à danger d’incendie peu élevés du fait de leur affectation.
Par définition, une terrasse ne représente pas de dangers au regard de l’AEAI, pour autant qu’elle ne soit pas au-dessus d’un autre local qui devrait être traité.
Les plastiques sont généralement issus d’hydrocarbures et présentent au mieux une réaction au feu RF3 (cr) et sont donc généralement à comportement critique (formation de goutes en fusion, dégagement de fumées et de gaz toxiques/corrosifs)
Si l’onduleur est atteignable en lieu sûr (p.ex. de plain-pied à l’extérieur du bâtiment), un interrupteur n’est pas requis. Mais si le/s onduleur/s sont dans le bâtiment, ou en toiture, l’AIB demande le montage d’un interrupteur vers l’entrée pompiers.
Les nouvelles prescriptions de protection incendie PPI 2015 facilitent l’utilisation des matériaux et parties de construction. Désormais, ils sont évalués sur la base de leur contribution au feu. La contribution au feu se base sur des facteurs tels que l’inflammabilité, la vitesse de combustion ou la formation de fumée.
On distingue quatre groupes de réaction au feu :
Comment améliorer les caractéristiques de résistance au feu des matériaux de construction combustibles ? En les enveloppant d’un matériau de construction non combustible.
Depuis janvier 2015, les dispositions suivantes sont applicables : si la surface d’étage est inférieure à 900 m2, un escalier suffit.
Pour les surfaces d’étages plus importantes, le nombre d’escaliers n’est plus déterminé en fonction de la surface d’étage, mais c’est la longueur des voies d’évacuation qui est déterminante.
Construisez-vous une maison individuelle ou un petit bâtiment commercial ? Dans ce cas, il vaut la peine de vérifier si votre projet de construction fait partie de la catégorie « bâtiments de petites dimensions ».
La hauteur du bâtiment est la suivante :
Toit en pente : distance du point le plus élevé de la structure du toit, c’est-à-dire du faîte, jusqu’au point le plus bas du terrain perpendiculairement au-dessous du faîte.
Depuis janvier 2015, les dispositions suivantes sont applicables : si la surface d’étage est inférieure à 900 m2, un escalier suffit.
Pour les surfaces d’étages plus importantes, le nombre d’escaliers n’est plus déterminé en fonction de la surface d’étage, mais c’est la longueur des voies d’évacuation qui est déterminante.
